Ginette MartyLa Tanière, petite salle de spectacle parisienne, dans la lignée du café-théâtre, a proposé, dans la suite des cabarets « Le Bus » et « Le Pétrin», une belle page de la chanson française d’alors.

Elle a permis à quelques chanteurs de « signer » leurs contrats sur le bar du lieu, tels Danielle Messia, Karim Kacel, Nielda (Daniel) Fernandez ou encore Gérard Blanchard. La collaboration avec l’école de la chanson que le lieu hébergeait s’est révélée fructueuse, et le soutien d'amis journalistes de l'auteur a permis l’organisation de festivals de très bonne tenue, ouvrant la programmation à la chanson allemande, belge, suisse, mais aussi au jazz.
Jacques COURCIER en a écrit l'histoire dans son livre « La Tanière - 1975-1986 - La chanson en mal d'aurore » et a confié les archives de ce lieu magique à la Mahicha.